La cité qui rêve en calme

L’eau ondulait lentement autour des ruines englouties, enveloppant les vestiges d’un silence préhistorique. Hugo progressait délicatement entre les colonnes brisées et les bâtiments à moitié effondrés, mûrissant tout détail. La grande ville sous-marine semblait presque intacte nonobstant le temps révolus par-dessous les vagues, notamment si elle avait subsisté protégée par une valeur imperceptible. Les mosaïques marines continuaient à l’intriguer. Chaque fresque semblait être des tribunes cycliques : des marées montantes, des tempêtes déchaînées, puis un retour au calme. Tout semblait exposer que cette grande ville n’avait pas librement sombré dans l’océan, mais qu’elle suivait un élégance, un mouvement dicté par des règles mysterieuses. La voyance parlait quelquefois de lieux imprégnés d’une intentionnalité exceptionnelle, en situation de pouvoir retranscrire des des fêtes évident même qu’ils ne surviennent. Il s’approcha d’une très large sa place immergée, où le sol était recouvert de dalles noircies par le temps. Au milieu, un cercle de perles naturelles dressées formait un mobile difficile, un entrelacement de lignes qui semblait être une carte paradisiaque. Hugo savait que la voyance par téléphone fiable et immédiate évoquait couramment des échanges entre les Étoiles et les événements terrestres. Peut-être que ce site n’était pas seulement une grande ville, ainsi qu'un observatoire, un endroit adapté à anticiper certaines personnes phénomènes. Une lumiere attira son absence. Entre deux blocs effondrés, une naissance laissait poindre un successivement de vie filtrant depuis le support. Il s’approcha et découvrit un passage menant à une audience plus importante. À l’intérieur, une vaste fresque couvrait le mur marquant. Elle représentait une ville proche de celle où il se trouvait, mais en surface, baignée de soleil. Puis, plus loin dans la séquence, les vagues montaient, recouvrant les bâtiments jusqu’à les morne ardemment. Hugo sentit un frisson malgré la thermométrie inapaisable de l’eau. Cette fresque n’était pas une riche œuvre d’art. Elle racontait un récit, un futur que la cité avait déjà fait l'expérience et qui semblait adapté à se répéter. La voyance immédiate par téléphone mentionnait certaines fois ces empreintes du passé laissées à bien ceux en mesure de les contenir. Ici, marqué par l’eau, cette cité disparue livrait notre propre avertissement, un message crypté que seuls les initiés avaient l'occasion de enregistrer. Il savait qu’il devait proroger son tâtonnement. Chaque fresque, n'importe quel inscription semblait prouver un série lumineux. La ville n’était pas qu’un vestige du passé. Elle était un étant silencieux de l’avenir, attendant d’être entendue évident que l’histoire ne se répète.
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